Au cours des dernières années, l’attention a été portée sur les effets des effets de la vitamine D sur la pléiotropie. Les données épidémiologiques indiquent que la carence en vitamine D dans divers groupes de la population représente un phénomène de plus en plus répandu, tandis maladies liées à la civilisation, y compris l'obésité viscérale. Cette étude vise à examiner et à synthétiser les données liées aux relations entre les concentrations réduites de vitamine D dans le sang et les manifestations de l’obésité, et aux mécanismes potentiels qui affectent la concentration de la vitamine dans des conditions d’accumulation excessive de tissu adipeux. On distingue plusieurs variables qui peuvent affecter l’état de la vitamine D face à l’obésité, mais le rôle essentiel à cet égard est attribué à l’activité métabolique du tissu adipeux viscéral. Entre autres, l'activité favorise la séquestration et la modulation du turnover du calcitriol. D'autre part, les effets de la vitamine D sur le processus d'adipogenèse et son implication dans le remodelage du tissu adipeux sont mis en évidence. En outre, plusieurs facteurs de nature environnementale (par exemple, la période de l'année / le jour, l'apport diététique en vitamine D), la nature génétique (par exemple les polymorphismes génétiques) et d'autres conditionnements (par exemple les maladies coexistantes, l'âge, le contenu en mélanine de la peau) ils peuvent influer sur la concentration de vitamine D. Néanmoins, la mesure dans laquelle l'hypovitaminose D en est la cause et l'effet de l'obésité ne sont pas encore résolus.
Source: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27660858