Les taux de prévalence de l'embonpoint et de l'obésité sont considérés comme un problème public important aux États-Unis, et ces deux conditions sont en augmentation chez les enfants et les adultes. Il existe des preuves d'aberrations dans le système de vitamine D-endocrinien chez les sujets obèses. La carence en vitamine D est très fréquente chez les patients obèses et de nombreuses études ont démontré l’effet important du calcitriol sur les adipocytes. Les études génétiques ont permis de déterminer quelles protéines lient la vitamine D à la pathologie de l'obésité, notamment le récepteur de la vitamine D, les récepteurs de type péage, le système rénine-angiotensine, l'apolipoprotéine E, le facteur de croissance de l'endothélium vasculaire et la poly (ADP-ribose) polymérase. -1. La vitamine D exerce également son effet sur l'obésité par le biais de mécanismes de signalisation cellulaire, notamment les métalloprotéinases matricielles, les voies de la protéine kinase activée par les mitogènes, la forme réduite du nicotinamide adénine dinucléotide phosphate, les prostaglandines, les espèces réactives de l'oxygène et l'oxyde nitrique synthase.En conclusion, la vitamine D peut avoir un rôle dans l'obésité. Le calcitriol est la meilleure forme de vitamine D à utiliser chez les obèses, car il s’agit de la forme active du métabolite de la vitamine D (3), ses récepteurs sont présents dans les adipocytes et module l’expression inflammatoire des cytokines.
Source: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23800102