État du fer, du zinc, de la vitamine A et du sélénium dans une cohorte de nourrissons indonésiens après ajustement en fonction de l'inflammation selon plusieurs approches.

L'inflammation confond l'interprétation de plusieurs biomarqueurs de micronutriments, ce qui donne des estimations qui pourraient ne pas refléter le véritable fardeau de la déficience. Nous avions pour objectif d'évaluer et de comparer le statut en micronutriments d'une cohorte de nourrissons indonésiens (n ​​230) à l'âge de 6, 9 et 12 mois en ignorant l'inflammation (non ajustée) et en ajustant quatre biomarqueurs de micronutriments pour l'inflammation avec la protéine C-réactive (CRP) et alpha -1-glycoprotein (AGP) en utilisant les méthodes suivantes: (1) facteurs de correction arithmétiques avec l'utilisation d'un modèle d'inflammation à quatre stades; et (2) la modélisation par régression. La prévalence des nourrissons présentant une inflammation quelconque (CRP> 5 mg / l et / ou PCG> 1 g / l) était d'environ 25% à chaque âge. Par rapport aux valeurs non ajustées, l’ajustement de régression après 6, 9 et 12 mois a généré le plus faible (P50% pour tous les âges). En conclusion, sans ajustement de l’inflammation, la carence en Fe était nettement sous-estimée et les carences en vitamine A et Zn surestimée, soulignant la Avant de mettre en œuvre des programmes de lutte contre la malnutrition en micronutriments, il est nécessaire de poursuivre les travaux pour valider les approches proposées, en mettant particulièrement l'accent sur l'évaluation de l'influence de divers degrés d'inflammation (à savoir les infections aiguës récurrentes et les infections de faible intensité). inflammation chronique) sur chaque biomarqueur nutritif affecté.


Source: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29189196


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